Alors que sa compétence ne souffre de rien, l’homme qui chuchotte à l’oreille du président de la république du Cameroun essuie depuis une bonne période maintenant. Et ce, à dose homéopathique, des critiques des forces internes en concubinage incestueux avec des forces externes, avec pour seul et unique dessein , salir un haut commis d’Etat qui n’a pour seul et unique credo, servir et rien que bien servir la Nation. Elles ne manquent dans leur sale besogne de faire recours à des attaques ad hominem, et même professionnel pour briser le dernier cercle de protection du président Paul Biya.

L’actuel directeur du cabinet civil du Cameroun, Samuel Mvondo Ayolo, pour ne pas le nommer est un véritable homme d’Etat. N’en déplaise à ses multiples comptemteurs fatigués de s’attaquer à son parcours professionnel, qui est sans fine bouche, irréprochable, jusqu’à date, lui assènent aussi des coups en dessous de la ceinture.
S’il y avait encore des doutes sur la centralité du ministre Dcc, Samuel Mvondo Ayolo, dans le dispositif politique et stratégique du Président Paul Biya et sur sa loyauté inébranlable à l’égard de ce dernier, la concentration des attaques contre sa personne et sa famille, y compris son défunt père, le vénérable Moïse Ayolo, de très regrettée mémoire, en apporte la preuve irréfutable. Ces attaques nourries et commanditées par des personnalités insoupçonnées trahissent le niveau d’aversion contre cet homme d’Etat, mais davantage contre son patron, le chef de l’Etat, Paul Biya. Ces adversaires du Dcc savent pertinemment que pour atteindre le Chef de l’Etat, pour faire obstruction à sa candidature à l’élection présidentielle d’octobre prochain, souhaitée et demandée par la majorité des Camerounais, de toutes origines et obédiences confondues, épris de paix, il faut passer par le cadavre de Samuel Mvondo Ayolo.

Trois points cristallisent la critique dénuée de tout fondement visant le Directeur du cabinet civil mais donc les mobiles se retrouvent ailleurs. Il s’agit, notamment de son parcours académique, sa compétence et son épanouissement socio-économique. Au sujet de sa formation que l’on présente en inadéquation avec sa brillante carrière de diplomate, la question qui se pose est celle-ci : ne devient-on diplomate que par l’Iric, comme certains tendent, de manière désorientée, à le faire croire au Cameroun ? Oui, l’Iric est la plus vieille académie des études diplomatiques en Afrique Sub-saharienne. Mais cette institution, de réputation mondiale, n’en a pas le monopole.
En effet, la formation aux métiers internationaux se fait dans des écoles comme l’Iric, fierté camerounaise et africaine, mais aussi dans des facultés spécialisées et dans des Instituts d’études politiques (Iep), notamment en France. Qui pourrait mettre en doute le sérieux et la renommée établis, dans le domaine des études internationales, des établissements universitaires de Lyon en France, jadis fréquentés par Samuel Mvondo Ayolo ? Et, comme on le sait, le recrutement de 1500 diplômés de l’Enseignement supérieur au milieu des années 1980, participait de la volonté politique du président Paul Biya, au lendemain de son accession au pouvoir en 1982, de fédérer toutes les expertises camerounaises de l’intérieur et de l’extérieur. Ce, pour la réalisation du grand destin national. Il ne s’est pas trompé. Beaucoup de ministres et hauts commis d’Etat, parmi les plus valeureux de notre pays, sont issus de cette opération socio-professionnelle.
Au-delà de la formation, le statut de diplomate n’est pas, comme en témoigne l’histoire du déploiement diplomatique du Cameroun sur la scène internationale l’indépendance à nos jours, l’apanage exclusif des fonctionnaires, anciens étudiants de diplomatie. La nomination des diplomates, de surcroît des ambassadeurs, relève du primat régalien du chef de l’Etat. De ce qui précède et au regard de sa carrière diplomatique, élogieuse et flamboyante, on a la preuve que Samuel Mvondo Ayolo est un grand diplomate hors pair.
Carrière administrative en béton
C’est fort de cette expérience, engrangée durant son parcours professionnel qu’à celui des postes diplomatiques, à Libreville au Gabon et à Paris en France, que Samuel Mvondo Ayolo s’installe au deuxième étage de la “Tour ” du Palais de l’Unité en début 2018. Depuis lors, que d’événements nationaux et internationaux, tous soumis à l’exigence de l’efficacité qualitative et de la convivialité politique et diplomatique. Ceci, au service de la cohésion nationale et du rayonnement du Cameroun et de son chef, son excellence, Paul Biya. La constance de ce résultat ne peut être que le fruit d’une bonne connexion, tout au moins fonctionnelle, entre le ministre Dcc et ses collaborateurs, dont il faut rappeler que plus de 9 sur 10 avaient été nommés à leurs postes respectifs durant le mandat de ses prédécesseurs. La figure infamante, faite à Samuel Mvondo Ayolo, d’un ogre insatiable, se nourrissant du sang de ses collaborateurs dont il détournerait les primes, est absolument irrationnelle par rapport à l’efficacité collective du Cabinet civil de la présidence de la République.

Ce que l’on sait, en revanche, c’est la réduction significative des surcoûts qui, pour gênante qu’elle aura pu paraître à certains, n’a pas pour autant impacté négativement les attentions dues à l’ensemble de l’équipe. Ainsi, dans sa volonté de rationaliser l’appareil conformément, sans aucun doute, aux instructions du président de la République, Samuel Mvondo Ayolo ne s’est pas départi de son humanisme. C’est ce qui, pour rester rationnel, explique l’efficacité collective évoquée plus haut. Ceci, s’agissant du bon fonctionnement et de l’organisation des grands événements nationaux et internationaux au cours des sept dernières années. Ici, s’allie la loyauté républicaine et la compétence technique.
L’agriculture, première richesse
Enfin, à propos de son épanouissement socio-économique, horizon bien humain, et sans avoir à revenir sur la réalité historique incompressible de l’aisance économique de son père, et sans renier l’importance des avantages dus à son rang et à sa fonction professionnels, la culture de la terre est la principale source de revenus de Samuel Mvondo Ayolo. Il pratique en effet, depuis des décennies, cette activité reçue en héritage de son père, le patriarche Moïse Ayolo, et du Président Paul Biya, ami et frère de ce dernier, avec une passion addictive. Cette activité, pour tous ceux qui connaissent Samuel Mvondo Ayolo, explique largement son épanouissement socio-économique . Reste alors l’orientation de ses investissements, dans une perspective emprunte de élan capitaliste mais aussi social. Samuel Mvondo Ayolo consacre ses investissements à la redistribution familiale et, à la création des emplois et à la modernisation du cadre rural et urbain dans le Dja et Lobo. Pour ne parler, à ce sujet, que de la ville de Sangmelima, chef-lieu du département du Dja et Lobo, l’immeuble qu’il y construit au centre commercial et qui donne à la ville un cachet moderne, est le premier du genre depuis plus de soixante ans !
Pour dire le peu et pour éviter la polémique inutile des comparaisons, le ministre Dcc, Samuel Mvondo Ayolo, sans être un ange, est un simple humain, mais un bon, un haut commis d’Etat au service du Cameroun et du président, Paul Biya. Un bon citoyen manifestant constamment à l’égard de ses concitoyens une réelle empathie sociale et familiale.
Oscar Abessolo
GIPHY App Key not set. Please check settings