En quête permanente d’efficacité dans le département dont il a la charge avec la haute confiance du Président de la République, le Ministre des Forêts et de la Faune Jules Doret NDONGO vient d’effectuer un vaste mouvement de ses agents de terrain.
Ce redéploiement concernait principalement les agents de postes de contrôle forestier et de chasse des eaux et forets dans le triangle national dont les missions principales consistent au suivi et au contrôle permanent des activités forestières et de la faune dans leur circonscription de compétence respective.
Comme toute remobilisation du personnel, celle ci a connu son lot de « mutés », des maintenus en poste, des promotions et bien entendu des mises à l’écart ou limogeages pour des fautes avérés.
C’est ce vaste redéploiement des personnels de terrain qui vaut aujourd’hui au MINFOF des tirs groupés orchestrés par les réseaux de braquage de nos forêts tapis dans l’ombre qui voient ainsi leurs intérêts mafieux menacés par le transfèrement inattendu ou le limogeage de certains chefs de bureaux véreux complices de ces gangsters de nos forêts.
On comprend donc aisément pourquoi depuis quelques jours, les réseaux sociaux sont en branle avec des activistes bien connus d’un certain bord politique de l’opposition à l’instar d’un certain NZUI MANTO qui sont instrumentalisés et utilisés pour lancer et entretenir une cabale cybernétique et médiatique contre le MINFOF à qui il prête des accointances et des pratiques sorties tout droit de leur imaginaire fertile en insinuations diffamatoires ou intoxications sans fondement. Ces braqueurs de forêt sont vents debout contre le Ministre des Forêts et de la Faune, Jules Doret NDONGO, parce qu’il a assené un véritable coup de pied dans la fourmilière des réseaux de corruption qu’ils avaient déjà construit sur le terrain avec la complicité avérée de certains des chefs de postes. Dans un cynisme digne du mépris qu’ils ont de manière générale des lois de la République et de la réglementation forestière en particulier, ces mafieux en viennent à vouloir prêter au Ministre Jules Doret NDONGO leurs propres pratiques et manigances mafieuses sur le terrain contre lesquels l’homme n’a pourtant cessé de combattre depuis sa nomination à la tête de ce département ministériel. La violence de leurs attaques indique que par ce mouvement du personnel de terrain, le Ministre leur a porté un coup dur dont ils ont du mal à s’en remettre.
Ils ont vite oublié qu’ils s’attaquent à un homme dont le bilan des réformes à la tête du MINFOF a permis au pays d’engranger de substantiels gains en matière fiscale, tant sur le plan de la fiscalité centrale que de la fiscalité locale, et en matière de création d’emplois. Le secteur forestier est aujourd’hui le 1er pourvoyeur des recettes propres de l’Etat hors pétrole. Les résultats de ces réformes ont permis d’améliorer très nettement la gouvernance dans ce secteur qui était en proie à de sérieux dysfonctionnements et à toutes sortes pratiques. Les résultats obtenus ont d’ailleurs permis au Cameroun d’être cité ou reconnu au niveau international particulièrement pour ce qui est la lutte contre l’exploitation anarchique de nos forêts ou de la protection ou traçabilité des espèces ou essences protégées. Ce bilan il le doit en grande partie dans la très bonne exécution des très hautes directives du Président de la République mais aussi par sa probité et le « cordon sanitaire » moral qu’il a su établir entre lui et tous les acteurs privés de la filière de toutes nationalités pour que son administration soit toujours au service désintéressé de tous et de chacun. Il n’entend pas dévier de ce cap malgré les hurlements cybernétiques et autres vuvuzelas ou cris d’orfraies de ceux qui aujourd’hui larmoient du coup d’arrêt porté à leurs intérêts mafieux par ce redéploiement.
Emile Gaspard NGUETCHOM
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