Dans une mise au point publiée le 06 juin 2025, l’ex Chef de l’unité de la communication de cet établissement hospitalier situé dans le département du Dja et Lobo , région du Sud, a invité les responsables de cette campagne de sabotage à faire taire leurs manœuvres. Tout en saluant la qualité de management du Pr. Dominique Noah Noah, il n’a pas manquer de rappeler les risques encourues par les délits médiatiques.
Ci-joint, l’intégralité de la mise au point.

MISE AU POINT DE RAYMOND BARRE MEKAMBA
Ancien Chef de l’unité de la communication de l’Hôpital de Référence de Sangmelima
Directeur de publication du journal Le Reporter Hebdo
《Depuis quelques jours, une campagne médiatique orientée et manifestement instrumentalisée tente de ternir l’image de l’Hôpital de Référence de Sangmelima et de jeter l’opprobre sur son top management, en particulier sur le Professeur Dominique Noah Noah, Directeur de cette institution sanitaire.
En tant qu’ancien chef de l’unité de communication de cet hôpital, poste que j’ai occupé avec rigueur et loyauté jusqu’à mon départ, je tiens à faire la lumière sur les faits, et à rétablir certaines vérités.
J’ai servi avec conviction et engagement une institution naissante, dont le rôle stratégique dans le système de santé de notre pays n’est plus à démontrer. À aucun moment, ni moi, ni le Professeur Noah, n’avons été inquiétés pour des faits de mauvaise gestion ou d’irrégularités. Au contraire, nous avons ensemble posé les bases d’une communication institutionnelle professionnelle et proactive.
Il est curieux pour ne pas dire troublant que ce soit maintenant que je ne suis plus en fonction, que certains médias et activistes relaient des allégations tendancieuses, sans rigueur ni croisement des sources, dans ce qui ressemble fort à une entreprise de démolition morale ciblée.
Je prends à témoin l’opinion publique : depuis le différend survenu entre ma personne et le Ministre de la Santé Publique, Dr Manaouda Malachie, l’Hôpital de Référence de Sangmelima semble être devenu la cible d’un acharnement injustifié. Le timing, la similitude des narratifs, l’alignement de certains relais connus pour leur proximité avec des cercles ministériels ne laissent aucun doute sur la nature politique de cette offensive.
J’invite l’actuelle équipe de communication de l’hôpital à faire preuve de hauteur et de vigilance. Tenir le cap. La sérénité de cette institution ne doit pas être compromise par des guerres de leadership qui se jouent ailleurs.
Enfin, je tiens à prévenir que si mon nom ou ma réputation continue d’être traîné dans la boue par des individus en quête de buzz ou manipulés par des intérêts obscurs, je me réserve le droit de saisir la justice. L’époque de l’impunité médiatique est révolue.
Le Cameroun mérite mieux que ces règlements de comptes à coups de calomnies et de diffamation. L’hôpital de Référence de Sangmelima mérite qu’on le laisse travailler en paix, au service des populations du Sud et du pays tout entier.》
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