Cette édition a été présidée en personne, par la première Dame Camerounaise Madame Chantal BIYA, vendredi dernier. Commémorer sur le thème : « Investir en faveur de la femme : accélérer le rythme », l’apothéose des activités de ce 8 mars 2024, a drainé un parterre de hauts responsables femmes et hommes, venus admirer la gent féminine lors de cette parade.
La 39ème édition de la journée internationale de la femme, a connu un tout autre rayonnement, notamment avec la présence à la place des solennités du boulevard du 20 mai, de la first lady Chantal BIYA. Il ne s’agit évidemment pas d’une simple journée de célébration de la femme en tant que personne, mais davantage une invite à rappeler que le combat d’égalité entre les genres est loin d’être gagné. C’est donc l’occasion de célébrer la journée internationale des droits de la femme, qui s’est consacrée durant plus d’une semaine, à de réflexions, de sessions de sensibilisations, et de plaidoyers en vue de l’amélioration de la condition de la femme au Cameroun.
Ce jour, c’est au total 11 wagons constitués d’hommes et de femmes qui ont battu le pavé lors de ce défilé. Le premier c’est le bouquet d’honneur ; le deuxième est celui de la souveraineté défense ; wagon 3, administrations générales et financières ; le 4, constitué de l’enseignement, la formation et la recherche ; le wagon 5, communication, culture jeunesse sport et loisirs ; santé affaire sociale et sécurité sociale a composé le wagon 6. Toujours dans cette ossature, le wagon 7, celui des infrastructures ; wagon 8, production et commerce ; wagon 9 société civile ; wagon 10, association féminine du département du Mfoundi ; et enfin wagon 11, celui de clôture qui annonce le défilé motorisé. Tous ces passages ont été calibrés sur 2 heures et 30 minutes. Pour le ministre de la Promotion de la Femme et de la Famille, « Le temps a été très beau, le temps de parade a été respecté, et les femmes ont été disciplinés. Nous espérons que le thème de cette édition va amené les femmes à atteindre l’objectif de développement durable numéro 5 », a lancé le Pr Marie-Thérèse ABENA ONDOA.
En rappel, le 8 mars met en lumière l’importance de l’égalité des genres, de l’autonomisation des femmes et des filles, et de leur droit à une vie plus saine. Il s’agit là d’un puissant levier au service du développement, dont le Cameroun ne s’en détourne pas.
Lavoisier Essama
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